mardi 26 juillet 2011

Au bout de soi il y a la lumière

Au bout de soi
il y a la lumière
des jours radieux
qui nous composent

c'est la bonne nouvelle
de notre finitude:
Le tissu d'amour
qui nous habille
est infini bouillonnement
par-delà la vie

"On peut se dire adieu
plusieurs fois"

car un coeur qui s'arrête
n'a de cesse de
disperser l'amour
qui jadis l'a fait battre

2 commentaires:

  1. Si tu te retrouves avec huit commentaires, c'est parce que Blogger est pas chaud à l'idée de me voir publier ce matin!

    Je disais donc : c'est bien joli, ce texte! On dirait une chanson.

    C'est d'ailleurs triste, puisque je vois que tu le cites, pour David Servan-Schreiber. Enfin, c'est triste pour quiconque meurt, jeune surtout.

    Je viens de vérifier, il avait cinquante ans. Pour un médecin super affairé, c'est peut-être pas si jeune! Quoi qu'il en soit, bravo à lui.

    Comme tu dis, son oeuvre va dépasser sa simple existence chronologique et matérielle.

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  2. triste perte en effet! Un autre être intelligent et cérébral que le cancer emporte par la tête! Est-ce pour cela que cela me touche autant? Allez savoir! Le fait de lire quelqu'un c'est aussi un peu se lier d'amitié. J'ai perdu un ami par les livres.

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