les yeux à contre-jour
la bouche ronde d'hypothèses
quant à ton devenir
Tu comptes les gouttes
qui te sépare de l'océan
navré comme la pluie
Autour de toi
dans la Savane
grandiose
des tas
d'animaux
aux trajectoires
brisées
sans dessins
Dans ton coin d'ombre
Tu tricottes
des hiéroglyphes
bizarres
Tu as le génie
des mots
qui ne mènent
nul part
Très beau.
RépondreSupprimerSi tu en accumules autant, ça te mènera chez un éditeur!